Fin 2019, 9,3 millions de personnes sont sous le seuil de pauvreté monétaire d'après les derniers chiffres de l'Insee, ce qui s'illustre en termes de précarité alimentaire avec un nombre de personnes ayant recours à l'aide alimentaire qui a presque triplé en 10 ans. La crise COVID19 a fait exploser les statistiques avec plus 45% de hausse de la demande d’aide alimentaire en 2020. Dans le même temps la crise du COVID a rappelé l’importance stratégique de notre agriculture, aujourd’hui face au défi de la transition agroécologique et du renouvellement des actifs agricoles.

Ce projet émane d’un collectif Accès digne à l’alimentation, une mobilisation inter-associative qui appelait de ses vœux, dès mi 2020, une politique nationale de lutte contre la précarité alimentaire, et le soutien de projets d’accès à une alimentation durable et de qualité.

Objectif :

favoriser un accès digne à une alimentation de qualité pour tou.te.s, en particulier les plus vulnérables, et créer avec elles et les organisations agricoles et de l’ESS de nouveaux dispositifs économiques pour des filières solidaires et durables.

3 niveaux de coopération

4 territoires

Depuis début 2021, le projet s'est déployé sur 4 territoires entre villes et campagnes :

• Métropole de Lyon
• Métropole d'Aix-Marseille
• Métropole de Montpellier
• Haute-Garonne-Toulouse

Sur chacun de ces territoires 2 à 4 structures se partagent la fonction d'ingénieur territorial, garants de la coopération locale et du maintien du cadre du projet.

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Instances de pilotage

Les acteurs de Territoires à VivreS

Les représentants des structures nationales et les ingénieurs territoriaux forment le comité national de Territoires à VivreS